Le projet du Marché de Poisson démontre la capacité de Chagall à intégrer l’identité de marque et les valeurs du client au cœur de ses créations.
Là où l'ébénisterie architecturale et les jeux de lumières donnent vie à l'univers marin
Situé à Sherbrooke, dans le secteur de St-Élie, le Marché de Poisson est la destination par excellence pour les amateurs de poissons et de fruits de mer en Estrie. Pour ce projet d’aménagement, Chagall a su allier design, ébénisterie commerciale et stratégie de mise en marché où l’image de marque se vit à travers les détails.
De l’ébénisterie sur mesure
La conception et la fabrication de mobilier unique (comptoir-caisse, présentoirs et unités intégrées), ont été pensées pour mettre en valeur les produits tout en reflétant l’identité du Marché de Poisson. Chaque pièce d’ébénisterie contribue à affichage intégré, ce qui contribue au parcours client et à son expérience d’achat.
Un parcours client optimisé
L’aménagement a été conçu pour assurer une circulation fluide qui facilite l’expérience d’achat. L’affichage intégré oriente le client vers les différentes zones (Bar à huitres, kiosque à sushis, produits frais, produits surgelés, etc.) Ce parcours traduit les valeurs d’accessibilité et de convivialité qui définissent l’entreprise.
Une ambiance inspirée de l’océan
Les jeux de lumières au plafond évoquent le mouvement d’un banc de poissons, une touche originale qui s’harmonise à merveille avec l’image de marque. Les éléments architecturaux inspirés des vagues incarnent l’univers marin.
Une cohérence visuelle
Un choix de couleurs océanique associé à des matériaux dans les teintes de sable et de roches, ainsi qu’un éclairage soigné vient renforcer l’image de marque. Cette cohérence visuelle amène une expérience sensorielle chez le client.
Une mise en marché intégrée
L’approche de mise en marché a guidé le design, avec des techniques de présentation qui amplifient l’attrait des produits et soutiennent le positionnement de la bannière. L’aménagement allie ainsi stratégie commerciale et esthétisme.
Crédit photos: Phil Bernard